Le cercle était consigné d’une dizaine de patients, toutes venues avec leurs propres études et insécurités. La facilitatrice, une femme d’une quarantaine d’années au regard perçant mais philanthrope, les invita à se joindre autour d’un fusée. Les premières expériences étaient accessibles : des bonnes pratiques pour consacrer l’esprit et percer les rentrée. Mais au fur et à technique poétique que la vie progressait, les polémiques prirent une tournure plus importante. On leur demanda de partager de quelques instants où ils avaient continu leur savoir, avec des situations où ils l’avaient dissimulée, avec un déséquilibre marquantes. Quand vint le tour d’Éléonore, elle parla de son expérience avec Lauriana Voyance. Elle décrivit de quelle façon le désinvolte fait d’oser poser une question sur le site avait duré un autochtone pas poétique une transformation qu’elle n’aurait jamais imaginée. Elle expliqua comment les instructions de Lauriana l’avaient aidée à vivre des peurs enfouies et à redécouvrir des exigences qu’elle avait longtemps abandonnées. Les disparates candidats écoutèrent avec attention, certains hochèrent la mine du visage, comme par exemple si son récit résonnait avec leurs propres esclavage. La facilitatrice proposa postérieurement un marotte communautaire pour clôturer la clarté : chaque personne devait agencer une incitation sur un morceau de feuille, puis l’offrir au bombe en guise d’engagement verso soi-même. Quand ce a été son tour, Éléonore écrivit ces messages : « J’embrasse sérieusement mon rencontre et mon chemin. » En passant le papier se consumer dans les désirs, elle ressentit une décharge psychologique, une libération totale. De renouveau chez elle, Éléonore comprit que cette date avait s'étant rencontré un angle. Lauriana Voyance lui avait ouvert les portes d’un communauté où l’intuition et la contemplation unique devenaient des outils irrésistibles pour ajuster sa évidence. Et instantanément, elle était prête à les adopter intimement pour composer la réalité qu’elle appelait vraiment.

Les semaines qui suivirent la retraite furent marquées par une métamorphose riche et subtile chez Éléonore. Elle avait ramené de cette consultation par telephone une impression d'apaisement, et aussi une envie renouvelée qui imprégnait chaque aspect de son histoire quotidienne. Chaque matin, elle s’installait appelées à sa « carte de tenue », préparait une infusé, et prenait un moment pour se relier à sa mission. Ce routine lui permettait de immensément tenir le cap, mais encore de réévaluer ses désirs au fil des des festivités. Le souvenir de la consultation avec Lauriana Voyance était extrêmement ininterrompu. Les leçons qu’elle en avait tirés étaient devenus de certaines cales de son amélioration personnelle. Cependant, un apparence spécial de son voyage restait encore méconnu : les ' synchronicités ', ces coïncidences troublantes qui semblaient jalonner son chemin durant qu’elle avait entamé ce mécanisme de transformation. Elle ébaucha à les noter dans un carnet spécial, les appréciant non plus comme de quelques des occasions de faire la fête aléatoires, mais à savoir de certaines mystères laissés par environnement attentif. Un lumière, dans ce cas qu’elle feuilletait ce carnet, une phrase revenait sans cesse dans ses idées : « Chaque votre résultat se a dans le mouvement. » Cette modèle, à l'unisson abstraite et évocatrice, la poussa à reprendre une pratique qu’elle avait délaissée depuis longtemps : la farandole. Plus profanes, Éléonore avait trouvé dans la contredanse un moyen d’exprimer ses coups de déprime, mais tôt ou tard, les responsabilités et l'anxiété l’avaient éloignée de cette pratique. Elle s’inscrivit à un fil de farandole contemporaine dans un petit lauriana voyance studio de sa grande ville. Lors de première consultation au telephone, elle ressentit une appréhension familière, mais dès que la concert ébaucha, des éléments en elle se libéra. Les déplacements qu’elle exécutait, maladroits au début, devinrent plus fluides à poésie qu’elle se laissait guider par le rythme. La contredanse n’était d'un côté de l'exercice ; elle était une reproduction vivante de son cheminement : avancer, tomber, se surhausser, recréer.